S’adapter au dérèglement climatique doit être l’occasion de transformer notre univers métropolitain pour y vivre mieux. Aujourd’hui, le manque de logements nous éloigne toujours plus, accroît la circulation automobile, et l’étalement urbain mange les espaces agricoles.
Pour économiser l’espace, les matériaux, l’énergie, pour adapter la ville à nos modes de vie d’ores et déjà en transformation, sachons tirer parti de ce qui est déjà là.
Le Grand Paris recèle un potentiel urbain inexploité considérable. Partant de l’existant, nous avons besoin d’identifier de nouvelles sources de foncier, de nouvelles façons d’habiter. Explorons ensemble nos nouveaux univers possibles !
Organisé en partenariat avec : Les Conseils d’Architecture / d’Urbanisme et de l’Environnement d’Île-de-France / le CAUE du Val-de-Marne / la ville d'Arcueil / la ville de Cachan / Opaly, Office Public de l'Habitat Arcueil-Gentilly / Paris Habitat - OPH / Anis Gras « le lieu de l'autre » / l'Observatoire Régional du Foncier / les Ateliers Villes / le Voyage Métropolitain / des Ricochets sur les Pavés.
> Les partenaires de Grand Paris # Climat
Comment le corps peut-il offrir un autre rapport à son environnement, comment occuper différemment un lieu, faire l’expérience d’un espace à 360° pour le vivre autrement et durablement ? Initiation à une démarche artistique née à l’issue de 3 années de résidence autour de la Bièvre.
En plein cœur de la ville, nous partons à la recherche de traces qui indiquent la présence passée d'une rivière en ville, rivière qui fut progressivement enterrée à partir des années 1850 ; des traces qui continuent aujourd'hui d'imprimer les imaginaires collectifs et qui témoignent de nos usages et rapports complexes à l'environnement.
Appréhension par le corps et les sens de l'espace occupé, méthodes spécifiques d'observation de l'environnement direct, visible et sous-terrain : faire corps avec le milieu pour l'envisager autrement.
"Les époques se succèdent. Château, aqueducs, cité jardin, Grand Paris Express, sont autant de marqueurs du temps qui scanderont notre voyage. Ces différentes strates spatio-temporelles forment un terreau fertile sur lequel l’avenir se construit.".
Dans le cadre du projet de renouvellement urbain de la Zone d’aménagement concerté (ZAC) de la Vache Noire, la Cité Paysagère est destinée à reloger les locataires d’une barre démolie sur le site. La construction d’un ensemble dense associant vie collective et sentiment d’individualité est l’un des enjeux de l’opération. Cette morphologie d’habitat individuel groupé est le fruit d’un travail rigoureux sur l’usage, le dessin et l’articulation des espaces extérieurs. Aux abords et dans le logement, ces derniers ont été conçus comme des lieux de vie agréables et diversifiés.
L’association Ateliers Ville développe une pédagogie active de la ville au service du grand public, notamment auprès de la jeunesse.Il s’agit d’un véritable outil de compréhension de la ville, accessible à tous, petits et grands habitants, un dispositif de communication innovant, proche des habitants et au service des aménageurs, des professionnels de l’urbanisme.Ces leçons de ville permettent d’appréhender non seulement les grands repères urbains et notions d’espace et de temps, mais également de comprendre la ville en construction à travers la présentation des grands projets d’aménagements urbains de la capitale.
Le 25 mai, la ville d’Arcueil a accueilli l’AIGP dans les locaux de l’école Henri Barbusse pour un débat public ayant pour objectif de rendre lisible l’actualité du Grand Paris au plus grand nombre.
Daniel Breuiller, maire d’Arcueil et Jean-Yves Le Bouillonnec, maire de Cachan, aux côtés d’Yves Lion et de William Yon, architectes membres du Conseil scientifique de l’AIGP, ont débattu de deux questions majeures de la construction métropolitaine aujourd’hui : la construction du réseau de transport, et la place de la nature en ville. Une première partie de soirée sur l’histoire récente du Grand Paris et sur le nouveau territoire d’Arcueil et de Cachan, « l’Unité Territoriale 12 » a été animée par François Loscheider, du CODEV du Val-de-Marne, et Flora Dancourt, de l’AIGP.