« Une unité paysagère forte telle que la vallée de la Seine relie les échelles locales à celle du grand territoire. L’histoire de cette vallée raconte nos conceptions du territoire et de la ville. Au-delà de ce qu’elle enseigne à l’historien ou au géographe, elle révèle des éléments permanents qui contribuent à construire une identité territoriale sur le temps long, et qui doivent être pris en compte pour imaginer la métropole du 21e siècle.La volonté prométhéenne de dominer le fleuve a multiplié les coupures entre la ville et l’eau, fait perdre le lien avec la topographie. Un nouvel âge de la relation au fleuve peut retrouver cette cohérence, ré-inventer le sens de la présence fluviale. » Antoine Grumbach
Organisé en partenariat avec : la Régie Autonome des Transports Parisiens / les Voies Navigables de France / Ports de Paris HAROPA / l'Union Régionale des Conseil d'Architecture, d'Urbanisme et de l'Environnement d'Ile-de-France / les CAUE du Val d'Oise et des Yvelines / la ville de Conflans-Sainte-Honorine / le Voyage métropolitain.
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De l’Oise à la Seine, entre deux rives, s’offrent les lisières d’espaces contraints dans leurs fonctions : forêt, zones industrielles, lotissements. Entre, les flux sont permanents. Le mouvement force-t-il l’ancrage ?
Une quinzaine de personnes ont marché 6h et ont parcouru 8 km ce samedi 28 novembre, depuis la gare de Saint Ouen l'Aumône jusqu'au port de Conflans-Sainte-Honorine
Les lieux visités sont sur la carte interactive MonGrandParis.fr. → Visiter le site.
Les marcheurs ont rejoins le port de Conflans à 15h pour débriefer sur ce qu'ils ont vu et constaté dans la journée, et ont retrouvé les participants au débat sur la péniche à leur arrivée à quai.